THE FRENCH GAME collabore avec des ateliers d’après-guerre qui transmettent leurs savoir-faire de génération en génération pour vous offrir des produits de qualité à l’épreuve du temps.


LE CUIR

LA RECHERCHE ? La région lyonnaise abrite des maroquiniers aux savoir-faire d’exception. Le grand-père de notre bretellier-ceinturier actuel a choisi cette région pour fonder son premier atelier dans les années 1950 après la Seconde Guerre mondiale. Par bouche-à-oreille nous avons entendu parlé de sa renommée. Nous travaillons avec lui depuis 2017.
LES FEMMES ET LES HOMMES ? Cet atelier fondé dans les années 1950 compte une vingtaine d’employés à l’année. Les plus proches de la retraite ont souvent travaillé pour le grand père fondateur. Une carrière entière dans un même atelier ! Cela en dit long sur les conditions de travail et l’atmosphère qui règne ici.
LA MATIÈRE PREMIÈRE ? Les cuirs et la croûte de cuir utilisé ici proviennent de vache française et allemande. Elles sont sélectionnées pour leur résistance et leur durabilité. Chaque peau est identifiée pour conserver une traçabilité rigoureuse.

LE TISSAGE

LA RECHERCHE ? C’est lors d’un salon de fabricants que nous avons fait connaissance avec notre tisserand français aux savoir-faire d’exception. Installé dans la région de Saint-Etienne, il a été créé par l’arrière grand-père du fondateur actuel dans les années 1950.
LES FEMMES ET LES HOMMES ? Une douzaine de personnes présentes à l’année travaillent sur les métiers à tisser de cet atelier familial de la région stéphanoise. Les pose d'étiquettes sont réalisées par des couturières travaillant à domicile avec leur propre machine. Cet atelier est une source d’emploi importante pour la petite ville toute proche de 6000 habitants.
LA MATIÈRE PREMIÈRE ? Nos étoles sont réalisées en microfibres. Cette matière synthétique donne un aspect soyeux au toucher et offre une résistance importante. Elle permet notamment d’éviter tout “boulochage” au cours du temps.

LE COTON

LA RECHERCHE ? La région de Troyes est réputée pour ces bonneteries (terme donné aux fabricants de chaussettes). Dans les années 1950 c’était un bassin important de l’industrie textile. Mes recherches m’ont naturellement amené vers un des meilleurs chaussetiers troyen.
LES FEMMES ET LES HOMMES ? Les femmes et les hommes travaillant dans la bonneterie sont chargés de surveiller les machines tricotant les chaussettes. Ils chargent les bobines de fil, et s'occupent de la pose du carton d’emballage reliant les deux chaussettes que l’on appelle “cavalier”. L’atelier fonctionne en “2x8” c'est-à-dire avec deux équipes : une le matin et une le soir.
LA MATIÈRE PREMIÈRE ? Nous utilisons du coton italien et portugais de première qualité. Celui-ci est certifié “OEKO-TEX” c'est-à-dire sans substance nocive pour l’homme ou l’environnement. Ce coton a été “peigné” pour conserver uniquement les plus longues fibres, celles de meilleure qualité. Cela pour conserver un confort sans pareil au porté. On appelle ce type de coton : “coton peigné” en opposition au coton non peigné ou “cardé”.

LE RAISIN

LA RECHERCHE ? C’est en nous intéressant au substitut au cuir d’origine animale que nous avons découvert qu’il existait une alternative à base de raisins. Nous avons ainsi découvert qu’en Italie dans la région Lombarde, il existait la première entreprise innovante capable de synthétiser cette matière.
LES FEMMES ET LES HOMMES ? La matière à partir de raisins que nous utilisons comme alternative au cuir a été développée par un laboratoire de “chimistes-agriculteurs” en Italie en 2016.
LA MATIÈRE PREMIÈRE ? Cette alternative végétale au cuir est issue des déchets végétaux de la vinification. Les grappes, les peaux et les pépins sont broyés puis mélangés à une huile végétale. Le bio-composé obtenu est étalé sur une trame de tissu recyclé. Abrasion, déchirure, dégorgement : la matière obtenue a passé avec succès tous les tests de qualité ISO des cuirs d’origine animale.


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